Alors qu'il est à la recherche de Nobuo, un enfant enlevé par Warler, l'esprit de Spielvan se retrouve prisonnier d'une réalité virtuelle où il ne peut pas se transformer. D'habitude, je n'aime pas ces épisodes où le héros va d'un péril à un autre dans un monde où la logique n'a pas court mais celui-ci est un des rares à être réussis: il a un enjeu qui est résolu à la fin et n'est pas mis de côté en attendant, on suit en parallèle Diana qui cherche un moyen de sortir Spielvan de son coma et l'ambiance cauchemardesque fonctionne parfaitement. On notera quand même une petite incohérence puisque Nobuo, un personnage qui n'apparaît que dans cet épisode, appelle systématiquement Spielvan par son vrai nom alors qu'il utilise son identité secrète.