Antonis Alakiotis s'est battu pendant vingt-quatre ans pour faire construire un crématorium à Ritsona, près d'Athènes. Opérationnel depuis un an, ce centre funéraire permet aujourd'hui à tout citoyen grec d'être incinéré dans son pays. En principe du moins, car l'Église orthodoxe, très puissante en Grèce, considère la crémation comme un péché.