Arthur est très dur avec Perceval, et s'ensuit un dialogue avec sa conscience. Celle-ci lui explique que tant qu'il traitera Perceval comme un nul, celui-ci le sera, afin de correspondre le plus possible à ce qu'Arthur suppose qu'il est. La conscience lui conseille donc de le féliciter, ou de ne pas trop le blâmer quand c'est nécessaire. Mais le premier essai est un échec : Perceval s'évanouit lorsqu'il entend Arthur le complimenter.