Les États-Unis ayant la preuve de la culpabilité de la Russie concernant la cyber-attaque d'Air Force One, le président Dalton décide de répliquer de façon pacifique en lui donnant un avertissement. La présidente russe, Maria Ostrov, reçoit bien le message et annonce des représailles imminentes. La secrétaire d'État propose alors de s'adresser aux Nations unies afin d'exposer la situation si une Troisième Guerre mondiale venait à éclater...